
Depuis le mois de novembre, Pascal Devalkeneer, le chef doublement étoilé du Chalet de la Forêt, rejoint tous les mercredis le chef Hadrien Franchoo aux fourneaux de son restaurant Ixellois : Amen.

Depuis le mois de novembre, Pascal Devalkeneer, le chef doublement étoilé du Chalet de la Forêt, rejoint tous les mercredis le chef Hadrien Franchoo aux fourneaux de son restaurant Ixellois : Amen.

L’hôtel Steigenberger Wiltcher’s, du haut de ses cinq étoiles, réorganise chaque dimanche son mythique brunch depuis un peu plus d’un an.
Long Play, meuble avec bureau pivotant destiné à un amateur de musique et pouvant accueillir une collection de vinyles, une chaîne stéréo et des hauts-parleurs. En bois de citronnier massif, placage de citronnier, laque bleue, acier et roues en laiton.[/caption]
Formé à l’école secondaire artistique Saint-Luc Tournai, ce créateur trentenaire, passionné par les techniques d’ébénisterie anciennes, donne un nouvel élan au mobilier contemporain.

À trente ans, Steven et Thomas se sont lancé un défi de taille : réapprendre aux gens à manger sainement et de façon équilibrée grâce entre autres à un concept de boîte à cuisiner, facile et rapide.

Fondé par Thierry Thenaers et Eddy Dankers, Volta Ceiling installe de grandes toiles peintes à la main sur les plafonds d’hôtels, de bars ou de cafés. Inspirées du travail des primitifs flamands, ces fresques monumentales mélangent savoir-faire ancestral et techniques modernes. Depuis peu, elles intègrent des éléments acoustiques.

“C’est la cantine de toute la galerie Véro-Dodat et j’y organise la plupart des dîners qui suivent mes vernissages. L’ambiance y est décontractée et le patron, Jean-Claude Girard, veille au moindre détail.

“C’est une petite boutique où une fille que j’aime beaucoup, Jeanne Signoles, vend des sacs en toile sobres et élégants, qu’on peut personnaliser. Son concept est de faire ‘simple, solide et beau’.

“Le palace a été refait par le décorateur Thierry Despont qui est un ami et contrairement à certains, je trouve qu’il a tout à fait respecté l’esprit du Ritz.

“Il est adorable, drôle, humble, je l’adore, c’est mon deuxième mari ! Et surtout, il a un talent fou.

C’est ce genre d’adresses qu’on se murmure de bouche à oreille, en espérant que ce plaisir d’initiés ne sera pas trop divulgué car le nouveau “café” de Claus Estermann est un écrin de bon goût, dans tous les sens du terme.