“J’aime farfouiller dans cette librairie qui propose plus de 200 m2 de livres à découvrir sur deux niveaux.
Étiquette : Paris
Plaza la suite
Retour à la sobriété au Plaza Athénée et à son identité originelle, le style Art déco, grâce à Bruno Moinard et à Claire Bétaille. On se souvient que le duo avait redécoré en 2014 le rez-de-chaussée, dont la fameuse galerie et le non moins fameux restaurant, le Relais, mais il n’avait alors pas touché aux chambres.
India Mahdavi
“J’aime l’architecte d’intérieur, la designer et la femme ! Elle est très attachante et a beaucoup de talent. Pour ma maison au Muy, j’ai tout de suite pensé à elle.
La Méditerranée
“C’est une institution où j’aime aller déjeuner ou dîner en famille. Magnifiquement situé face au théâtre de l’Odéon, ce restaurant est unique à Paris.
Le Cherche Midi
“Ce bistrot italien est ma cantine et je m’y sens comme à la maison. Marchands de tableauxet passionnés de cuisine, les frères di Meo l’ont ouvert en 1978 et c’est devenu un lieu incontournable à Saint-Germain-des-Prés.
Carpenters Workshop
La galerie Carpenters Workshop est célèbre pour ses créations qui flirtent avec l’œuvre d’art, souvent numérotées, voire pièces uniques, et rarement d’une fonctionnalité évidente.
Sadaharu Aoki
“Je raffole des créations de ce pâtissier et chocolatier japonais. Arrivé en France en 1991, il a ouvert son premier atelier sept ans plus tard, et a été aussitôt adopté par l’univers de la mode comme Kenzo et Yamamoto, mais aussi Chanel et Dior.
Hélène Bailly Gallery
Chefs-d’œuvre de l’Impressionisme, de l’art moderne & contemporain. Issue d’une illustre famille de galeristes, marchands et commissaires-priseurs, Hélène Bailly Marcilhac hérite en 2007 de la galerie familiale fondée en 1977 par ses parents.
Entente formelle
Hervé van der Straeten cultive un véritable intérêt pour l’art contemporain qu’il aime associer à ses propres créations dans sa galerie du Marais.
Anahi
On fête l’arrivée de l’automne en allant savourer un bife de lomo chez Anahi. Et surtout, on se fait une joie de retrouver à l’entrée Carmen, figure de la nuit quand le restaurant argentin était le point de chute obligé des noctambules parisiens.