Michal, une trentenaire devenue religieuse orthodoxe veut se marier à tout prix. Mais elle fait fuir les (nombreux) candidats successifs, à force de questions, de doute et… d’angoisses. Alors qu’elle est sur le point de se marier, le prétendant décline son engagement. Or Michal ne veut pas annuler le contrat de location de la salle. Il lui reste vingt-deux jours pour planifier son propre mariage et… trouver le prince charmant.
Art & Culture : Cinéma
Jean Rochefort, cavalier seul
Jean Rochefort c’est d’abord et avant tout cette silhouette élégante, cette voix, cet humour et puis des films et des visages multiples. D’abord léger dans « Un éléphant ça trompe énormément », sombre dans le « Crabe Tambour », et puis tourmenté dans « Tandem ». Mais derrière ces rôles emblématiques, c’est une vie qui balance entre besoin de comédie et passion pour les chevaux, entre amour des femmes et recherche de solitude. Le journaliste Jean-Philippe Guérand livre une première biographie de Jean Rochefort. L’occasion de découvrir la personnalité complexe, une vie sur le fil du comédien très populaire qui n’a jamais voulu se raconter.
Berlinale 2018 : c’est parti !
Comme film d’ouverture pour cette 68e Berlinale, on pouvait difficilement imaginer mieux. Le 15 février marquait le premier jour de l’Année du Chien, que les communautés chinoises du monde entier célèbrent avec ferveur. La programmation de Isle of Dogs de l’Américain Wes Anderson s’avérait donc idéale.
Berlinale 2018 : affronter le passé, ou le revivre ?
« Ceux qui refusent d’affronter le passé sont condamnés à le revivre ». Cette phrase du philosophe américain George Santayana trouve une manière d’illustration dans deux films présentés à cette 68e Berlinale.
Xavier Legrand : « un mauvais conjoint ne peut pas faire un bon parent »
Pour « Jusqu’à la garde », son premier film, thriller sur la violence conjugale, couronné à la Mostra de Venise, Xavier Legrand, filme avec rigueur la violence conjugale. Miriam (Léa Drucker) incarne une mère désemparée, anéantie, apparemment épuisée par ses dernières forces face à Antoine (Denis Ménochet). Pour protéger son fils (Thomas Gioria), elle ira jusqu’à la justice. Rencontre avec le réalisateur.
Berlinale 2018 : le génial Lav Diaz réinvente le cinéma
Il y a deux ans, le cinéaste philippin Lav Diaz avait battu un record mondial en présentant dans la compétition berlinoise un film de huit heures, A Lullaby to the Sorrowful Mystery. J’ai assisté à l’époque à l’entièreté de la projection (une brève pause était prévue vers midi pour satisfaire un besoin naturel) et je peux témoigner, pour l’avoir surveillée du coin de l’oeil, que la présidente du jury Meryl Streep a rempli son devoir avec un dévouement total car elle figurait parmi les survivants qui ont quitté la salle en fin d’après-midi…
Berlinale 2018 : quelques films à oublier…
Quelques notes sur des films à oublier (généralement).
Berlinale 2018 : Steven Soderbergh conquis par l’iPhone !
Entièrement tourné avec un iPhone ! Difficile de trouver une accroche publicitaire plus efficace.
Berlinale 2018 : une édition finalement terne
Le jury de la 68e Berlinale a donc créé la surprise en attribuant les deux récompenses majeures (celles qui consacrent les meilleurs films) à des réalisatrices de l’Est : Ours d’or pour Touch Me Not de la Roumaine Adina Pintilie ; et Ours d’argent pour Mug de la Polonaise Malgorzata Szumovska.
Valérie Bonneton n’a pas perdu son accent ch’ti
Les téléspectateurs se souviennent d’elle comme Fabienne Lepic dans la série TV « Fais pas ci, fais pas ça ». Pendant neuf saisons sur France 2, Valérie Bonneton a joué les mères de famille. Drôle, touchante, Valérie l’est aussi dans «La Ch’tite famille», sous la direction de Dany Boon. Rencontre à Bruxelles.