
L’architecte Maud Crayon (Valérie Donzelli) est projetée dans un tourbillon. Après avoir gagné par hasard un concours de la mairie de Paris, elle a pour mission de réaménager le parvis de Notre-Dame de Paris.

L’architecte Maud Crayon (Valérie Donzelli) est projetée dans un tourbillon. Après avoir gagné par hasard un concours de la mairie de Paris, elle a pour mission de réaménager le parvis de Notre-Dame de Paris.

L’Union de la Critique de Cinéma (UCC) a décerné le Grand Prix 2020 au film “Werk Ohne Autor” , du réalisateur germano-autrichien Florian Henckel von Donnersmark pour sa grandiose épopée historique au cœur de l’Allemagne du 20e siècle, et la place de l’art dans les bouleversements idéologiques de cette période troublée.

Au Guatemala, un ancien président accusé de crimes de guerre attend son procès. Sa famille engage une jeune domestique, Alma….

À quelques heures de la cérémonie des Magritte, « Maître» Kody, tout sourire, assure que « tous les éléments sont là. »

Bruno (Roschdy Zem) et Céline (Chiara Mastroianni) voient leur vie de famille s’effondrer lorsque Lise (Mélissa Guers), leur fille de 17 ans, est accusée du meurtre de sa meilleure amie Flora. Deux ans après le crime, Lise vit avec un bracelet électronique. À quelques jours du procès, Bruno sait que le destin de sa fille va se jouer, dans l’arène d’une cour d’assises… même si l’arme du crime n’a pas été retrouvée, pas plus que les empreintes génétiques de Lise sur les lieux.

Moins de glamour et un plus grand souci de la qualité proprement cinématographique des œuvres sélectionnées : c’est la première impression que me laisse le début de cette 70e Berlinale.

Une longue ovation a salué la présence sur scène d’un des plus grands cinéastes de notre temps. Jia Zhang-ke était ce week-end à la Berlinale pour révéler au public sa dernière œuvre, intitulée poétiquement Swimming Out till the Sea Turns Blue (littéralement : nager jusqu’à ce que la mer devienne bleue).

Adrien (Vincent Lacoste) est un Peter Pan moderne. À vingt-sept ans, il se comporte toujours comme un petit garçon immature et irresponsable. Enfant, il avait connu un petit succès au cinéma. Aujourd’hui, Adrien n’a ni gloire ni argent. Il se voit interdit de carte bancaire et exproprié de son appartement. Il doit retourner vivre chez ses parents. Sa mère (Emmanuelle Devos) est psychothérapeute. Son père, écrivain en panne d’inspiration, alcoolique, vit dans la chambre de bonne. Adrien découvre le fiasco conjugal de ses parents. Contre toute attente, on lui propose d’incarner le général de Gaulle, jeune. Sans trop y croire, Adrien se lance dans cette nouvelle aventure… Antoine de Bary livre une comédie douce-amère sur l’adulescence, thème qu’il avait déjà abordé dans un court-métrage. Il signe un premier film tendre, réaliste et facétieux. On retrouve un Christophe Lambert inédit, en père à la dérive. Nous l’avons rencontré en pleine forme, au FIFF.
Hillary Clinton sur le tapis bleu de le Berlinale pour la présentation du documentaire Hillary de Nanette Burstein[/caption]
Grand émoi sur la Potsdamer Platz : on annonçait hier l’arrivée d’Hillary Clinton, l’ex-première dame des Etats-Unis ayant accepté – faveur assez rare – de se déplacer à Berlin pour présenter le film qui lui est consacré, et pour répondre aux questions des journalistes.
Le réalisateur Hong Sangsoo[/caption]
Hong Sangsoo est un des seuls cinéastes qui déclenchent une abolition totale de mon sens critique. Je le vois plutôt comme un vieil ami à qui on pardonne tout et qu’on retrouve d’année en année sans avoir le sentiment que la conversation s’est interrompue.