
Le 26 avril dernier, pour L‘Eventail, Patrick Weber présentait, en avant première au Cercle Gaulois, son stand-up historique “Mon histoire belge”.

Le 26 avril dernier, pour L‘Eventail, Patrick Weber présentait, en avant première au Cercle Gaulois, son stand-up historique “Mon histoire belge”.

Adapter le chef d’œuvre d’Alain-Fournier pour la scène tenait de la gageure. L’atmosphère onirique, la fantasmagorie des lieux et l’imaginaire des personnages du roman sont autant de difficultés à une transposition théâtrale. Cela explique sans doute pourquoi le spectacle présenté en ce moment constitue une première mondiale, alors que l’édition originale du roman date de 1913.

Parmi les nombreux slogans de la révolte estudiantine à Paris en mai 1968, on se souvient de « l’ imagination au pouvoir ».

Curieuse pièce que Le Mari, la Femme et la Mort d’André Roussin (1911-1987). Très grinçante et très différente de que ce prince du Boulevard écrivait habituellement.

Au même moment que la pièce de Roussin à la Comédie Volter, une autre histoire de mari, de femme, de mensonges et de mort se joue dans un autre théâtre belge.

La vie est une histoire racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne veut rien dire.

Seule pièce écrite (en 1994) par la prolifique romancière belge, Les Combustibles est une œuvre glaçante tant par son environnement scénique que par sa symbolique.

C’est Thierry Debroux, le directeur du Parc, qui a imaginé l’adaptation condensée pour la scène de l’œuvre éponyme de l’écrivain britannique George Orwell (1903-1950). Une tâche peu aisée au regard de la personnalité de l’auteur et de la complexité de son œuvre.

C’est sans doute la pièce française la plus jouée dans le monde que la société de production de spectacles Del Diffusion a choisi de présenter dans les ruines de l’Abbaye de Villers-La-Ville cet été.
Michel de Warzée, en Churchill[/caption]
Hervé Bentégeat, l’auteur de la pièce Meilleurs Alliées vient de recevoir le Prix du Théâtre de l’Académie francçaise. À travers ce prix décérné à l’ancien rédacteur en chef adjoint du Figaro, ce sont trois belges qui sont honorés : Jean-Claude Idée, le metteur en scène, Michel de Warzée et Pascal Racan, les comédiens. Dans l’histoire du théâtre belge, l’évènement est à ce point rare qu’il se doit d’être souligné.